MOIS DE LA JEUNE CRÉATION
Quatre soirées, pour permettre à des artistes qui n’ont pas – ou peu – eu accès à des scènes, de présenter un format court de leur travail dans des conditions professionnelles que nous souhaitons les meilleures et les plus adaptées possibles. Pour les spectateurs c’est le privilège de goûter « l’air du temps » en matière de création d’aujourd’hui, au travers de dramaturgies plurielles, en théâtre, danse et musique : sensibilités et esthétiques seront perçues communes ou dissemblables, mais se distingue déjà la personnalité des jeunes artistes.
DESTINATION
cie co-incidanse
chorégraphie wilfried ohouchou
distribution en cours
Est-ce pareil ailleurs ? D’où vient-on ? Que recherchons- nous ? Qu’elle soit animale ou humaine, la manifestation est la manifestation de la vie. Le sens de ce mouvement est interrogé et le corps des danseurs en devient la vivante incarnation, force et fragilité.
GREAT THINGS BEGIN WITH A LITTLE TREMBLE
chorégraphie andrés garcía martínez
Une histoire d’amour ? Une réflexion ? Une célébration ? Dans cette pièce, le danseur et chorégraphe s’insurge contre l’intuition de son propre corps, initiant ce qui pourrait être une routine quotidienne pour aller vers un rituel transcendant son être et son esprit.
PIA ET MAREA’S
ensemble /k/inêtikos
chorégraphies et interprètes léa bridarolli et eneas vaca bualo
À la croisée des arts vivants et numériques, cette création chorégraphique s’attache au destin lié de deux êtres. Qui se rencontrent, s’observent, s’amusent, s’aiment, se déchirent, s’ignorent. La société mène le bal, la vérité surgit, la dualité s’invite.
EN VRAC
avec elsa ferret et elisabetta guttuso
Trois figures : le créateur, la créature et le destructeur, façonnent un récit imagé, sonore et dansé inspiré de la recherche du philosophe Umberto Galimberti sur les vices de la société contemporaine, et questionnent l’idée du futur : espoir ou désastre ?
LOOK
cie norma
chorégraphie nordine belmekki
avec laura cortes, léa favre, sinath ouk, nordine belmekki, pierre boileau
Nous sommes entraînés dans une boutique de prêt à porter. Les mannequins deviennent créatures, prennent corps et s’animent. Ils se jouent des codes de l’individualité ou de l’appartenance au groupe, et leur fantaisie nous embarque.